Le pâturage est considéré comme la source de nourriture la plus économique et, avec des pratiques de conduite du pâturage judicieuses, peut fournir la majorité de l’apport alimentaire aux chevaux dans les régions tempérées.
Organiser le système de pâturage
Poser et entretenir des clôtures
Aménager et entretenir les accès aux points d’eau et aux pâturages
Aménager et entretenir des abris naturels ou artificiels au pâturage
Choisir des espèces, des variétés et des mélanges prairiaux
Mettre en œuvre le planning et des techniques de pâturage
Déterminer la date de mise à l’herbe des animaux
Mettre à l’herbe les animaux
Estimer la biomasse d’herbe disponible
Gérer les aléas climatiques et les incertitudes liées à la conduite des pâturages
Récolter et stocker des couverts prairiaux (ensilage, enrubannage ou foins)
Estimer la valeur alimentaire et agronomique des ressources fourragères (analyses)
Elaborer les rations alimentaires des animaux
Apprécier le risque de surpâturage et l’état de dégradation des prairies
Effectuer des opérations d’entretien des prairies (ébousage et étaupinage, roulage, hersage, fauchage des refus, sursemis et désherbage sélectif)
Calculer et analyser les charges de mécanisation et les charges opérationnelles liées à la conduite des pâturages
Recycler et valoriser les déchets de stockage et d’emballage des fourrages
Mettre en œuvre le plan d’épandage des effluents
Gérer les effluents d’élevage et pilotage de la fertilisation NPK Mgo CAO
Informations réglementaires
Elaborer le plan sanitaire des élevages avec un vétérinaire
Mettre en œuvre des mesures de préventions sanitaires relatives aux animaux, aux personnes, aux bâtiments et aux matériels
Réaliser le bilan annuel des E/S des flux de N et/ou de P des élevages
Prévention des aléas climatiques sur les ressources fourragères, anticiper les effets des aléas climatiques
les pâturages utilisés.
Si jamais l’obésité installée, la posture du cheval doit être restreinte pour limiter le risque de fourbure et de maladie métabolique. D’autre part, il est important de maîtriser la quantité et la qualité de l’apport de pâturage pour répondre aux besoins de la poulinière et du poulain sans recourir à une supplémentation énergétique et protéique. Enfin, le pâturage aménagé avec de saines pratiques de gestion permet de protéger